Mission du Doulazine

Le Doulazine se souhaite un expanseur de conscience qui oeuvre pour l’humanité dans une considération réflexive et évolutive des passages de vies périnataux.

Nous parlons de passages de vie car nous voulons contribuer à couvrir la Naissance et la Mort comme un commun où l’un ne va pas sans l’autre.

Le Doulazine peut donc s’adresser à la Préconception, la Naissance, la Fertilité, L’interruption de grossesse, la Mort Périnatal et tout autre passages reliés en proposant entre autres des articles, des rituels, des photos, des ilustrations éclairants et bienveillants comme ces Doulas co-créateurices aux transmissions qu’iels diffusent savent le faire.

L’ère des tabous levant son voile, nous espérons que lire le Doulazine vous permettra une conscience des passages dans toutes ses nuances et une tonalité d’éclairage qui puisse faire vibrer votre coeur de sens et d’évidences.

Le Doulazine c’est plus de 7000 lecteurices depuis son premier numéro sortie en pleine pandémie et alors offert gratuitement pour soutenir les familles en avril 2020.

Où va mon argent?

Qui dit Doulazine dit:

Un magazine local, 4 humaines œuvrant à sa mission et des impressions Made in Québec et France afin de participer à l’économie locale et tenter de réduire la chaîne de production pour notre Terre. 

Des choix les plus éthiques possibles tout en assurant une qualité de votre magazine telle une oeuvre d’art.

Ce sont 4 cerveaux coeurs qui préparent des mois durant un magazine dont elles croient en sa mission et souhaitent promouvoir son expansion pour continuer de toucher encore plus de Monde.

Mais pas seulement.

C’est aussi 1 humaine supplémentaire pour sa distribution en France, plusieurs paires de yeux pour corriger bénévolement ces éditions. 

Et évidemment, plusieurs collaborateurices qui œuvrent en vous proposant des articles à chaque édition. 

Chaque co-créateurice écrit avec son cœur et bénévolement. 

C’est donc authentiquement que tous ses articles nous permettent aujourd’hui de mettre au monde le Doulazine. 

Une réalité de frais 

Pour que le magazine existe nous passons des centaines d’heures à son élaboration.

Nous devons aussi payer pour des logiciels comme pour le graphisme, le site internet, les frais de ventes, la distribution, l’impression entre autres frais.

Lors de la vente, nous couvrons les dépenses engagées afin de ne pas perdre d’argent et que nous puissions continuer de faire naître d’autres éditions dans les prochains mois.

Et ensuite, le reste?

La réalité est qu’une fois les frais couverts, il reste très peu d’argent. 

Plus nous le vendons, plus nous avons de possibilités. 

C’est ce que nous souhaitons. 

Dans tout cela, nous avons travaillé et investi notre temps bénévolement. 

Être payées pour notre travail ne serait pas une récompense mais bien un gain honnête comme chaque personne qui travaille obtient son salaire.

Mais ce n’est pas tout…

Nous avons un rêve

 

Il y a une vision future, un souhait, une envie d’émerger encore quelque chose de plus grand de ce magazine tout en continuant d’éclairer le Monde.

Ainsi est déposé ici, maintenant, ce rêve, pour attirer les possibles qui lui permettront d’exister.

Tu veux en savoir plus?

Le Rêve

Quel est ce rêve ?

Il y a bien une vision, un rêve au Doulazine dans sa continuité. En plus de devenir un diffuseur de conscience, le magazine souhaiterait rassembler des finances pour payer des doulas qui pourraient offrir des accompagnements à des personnes dont la situation financière est plus délicate en leur offrant un accès à l’accompagnement. 

Les doulas sont souvent des travailleurs.ses autonomes qui oeuvrent fort à cette conscience et qui ont des choses à dire, à Être dans ce Monde. 

Crois-moi, si tu rencontres un.e doula, ta vie sera différente par la suite. Iels ont tou.te.s un parcours de vie et d’expériences qui leur a permis de toucher à cette essence en elleux. 

Rassembler des fonds pourrait nous permettre de couvrir les frais d’un accompagnement, qu’il soit un rituel, un atelier informatif, un accompagnement d’interruption de grossesse, un accompagnement à la naissance, des relevailles… bref tous ces possibles mais remis directement aux doulas. Couvrir leurs frais et leur laisser la précieuse liberté dans leur façon d’accompagner. Car il y a un.e doula pour chaque famille dont chacun porte sa couleur et dont l’avantage de sa pratique autonome lui permet la liberté de son approche personnalisée. Cela veut dire aussi laisser le choix entre l’accompagnant.e et l’accompagné.e de se choisir mutuellement.

Pourquoi cet argent aux doulas directement?

Comme doulas, nous connaissons la réalité du terrain. Nous savons aussi que nous sommes amené.e.s à rencontrer ces personnes sur notre route. Nous savons également la grande valeur de ce travail, les coûts réels engendrés et la disponibilité que cela demande. Et bien que le bénévolat soit fantastique, chaque doula exerce un métier et son travail a un prix. 

Et pour les accompagné.e.s qui hériteront de ce possible, demandez-vous qui n’a jamais reçu un coup de pouce dans sa vie qui a permis un grand pas par la suite?

C’est dans cette logique de pensée que valoriser et reconnaître à sa juste valeur le métier de doula et lui permettre de couvrir financièrement son accompagnement tout en permettant l’accès aux services à des personnes qui ne pourraient pas se le permettre est une façon d’appuyer le métier et soutenir le besoin. 

Supporter le monde consciemment un accompagnement à la fois. 

Tu saisis le truc, tu as des compétences et du temps pour aider? 

Faisons de ce rêve une réalité. 

N’hésite pas à nous écrire à infodoulazine@gmail.com

Publicité

Un point sur la publicité dans le Doulazine

 

Le Doulazine a fait le choix de ne plus mettre de publicité dans son magazine.

En évitant la publicité, nous souhaitons préserver un environnement équilibré. Cette décision nous permet de vous proposer des partages sincères, authentiques, sans être influencées par des intérêts commerciaux. Pour nous, il est essentiel que notre magazine reste un espace de confiance, où les idées circulent librement depuis le coeur vers le vôtre.

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